31 décembre, il fait beau et presque chaud, même. Sortie au zoo. Je n’ai pas vraiment eu le temps de faire toutes les photos que j’aurais voulu faire. Suivre un groupe est souvent une gageure pour un photographe qui ne peut que rarement consacrer le temps nécessaire à une bonne photo ; mais de temps en temps, on a un peu de chance…
On commence par ce qui me semble être un poney. Ici, on ne voit pas souvent d’équidés.
Un macaque semblant réfléchir intensément…
Le même, après réflexion.
Un oryx. Difficile de trouver plus doux regard.
Qui est en cage ?
Un animal si populaire qu’on ne le présente plus…
Du côté des volières, la lumière était détestable, sans compter la présence de grilles à mailles serrées ou de vitres sales. Il a été quasiment impossible de réaliser une photo acceptable. Évidemment, c’est un intrus dans une des volières qui a bénéficié d’un traitement adéquat.
Comme le poney, l’oie est ici un animal plutôt exotique.
Je ne connais pas cet animal. J’ai pris toute une série de photos de ses congénères à quelques mètres de là, mais aucune n’a été vraiment satisfaisante. C’est alors que j’avise cet individu isolé et comme camouflé dans les rochers.
Un émeu d’Australie. Les individus exposés là faisaient environ un mètre de haut et étaient séparés des visiteurs par une simple barrière de bois. C’est donc assez impressionnant, surtout pour les enfants. Leur bec est large et semble assez fort pour faire mal. En vérité, ces oiseaux semblent très paisibles. Ils peuvent provoquer un geste de recul au premier regard, mais je leur ai finalement trouvé une expression vraiment intelligente et aimable. Ils sont curieux, approchent volontiers les visiteurs pour les scruter attentivement sans aucun geste brusque, comme s’ils veillaient à ne pas nous faire peur.
Donc voilà, peu de photos vraiment intéressantes pour le moment. Peut-être aurais-je l’occasion de revenir en semaine sans avoir à suivre un groupe ou être gêné par les autres visiteurs pour prendre le temps d’obtenir de meilleures photos.