Kyoto 2018

C’est la deuxième fois que j’ai l’occasion de visiter Kyoto. Les photos de la première fois paraîtront un jour. Nous avons commencé par le pavillon d’argent. Si le bâtiment lui-même ne présente pas d’intérêt particulier, les jardins sont en revanche magnifiques.

Tout est soigné, jusque dans les détails qui sont eux-mêmes des paysages.

Vue plus générale des lieux avec le pavillon.

Vu plus tard, au hasard des rues.

La visite au Kiyomizu-dera sera quelque peu décevante, l’édifice étant en réfection. Voici une vue de fontaines d’eau, apparemment très courues. Tout le monde attend pour en boire.

Là, je ne sais pas ce que c’est. Peut-être des hommages aux dieux ou aux ancêtres… Dans la pénombre, cela peut être un peu impressionnant.

Ici, un origami a été installé. Par jeu ? Ou cela a-t-il une signification plus sérieuse ?

Le Ryôzen Kannon est un temple dans une statue. Je ferai prochainement un article pour ce lieu afin de montrer les différentes statuettes contenues dans la grande.

Près du Kodaiji, un petit bâtiment expose des peintures murales. Là encore, ces peintures méritent leur propre article. Quelques objets ont retenu mon attention.

Le panneau suivant montre des scènes de la vie de Bouddha.

Le Kodaiji proprement dit est un parc aménagé comportant divers lieux de méditation dont un salon de thé, la première photo, et une bambouseraie.

Le dernier jour sera d’abord consacré au Nijo-jo, le palais impérial, qui se situe en pleine ville.

L’imposante entrée dans la muraille d’enceinte. Déjà, les dorures sont présentes.

La porte Kara-mon, l’entrée de l’enceinte intérieure. Évidemment conçue pour impressionner le visiteur, on ne peut que s’y arrêter tant les détails foisonnent.

Le palais proprement dit.

Le panneau que l’on devine sous l’avancée du toit est reproduit ci-dessous :

L’intérieur du palais est décoré de nombreuses peintures murales qu’il était malheureusement interdit de photographier.

Les couloirs émettent des sortes de cris d’oiseaux au passage des visiteurs. Il est parfois dit que cela servait à signaler la présence d’un intrus. Il semble qu’en réalité, il s’agissait seulement d’un raffinement esthétique.

Quelques autres vues des bâtiments et du parc du Nijo-jo.

Non loin du Nijo-jo, se trouve le marché de Nishiki auquel on peut se rendre à pied pour peu qu’on soit bon marcheur.

Tout le marché est couvert et organisé le long d’une seule ruelle. C’est constamment bondé.

À l’extrémité du marché, un petit temple. Rien de bien nouveau, mais un petit dragon m’a bien plu.

Il manque des photos, mais elles feront l’objet de prochains articles. en outre, il faut que je rattrape les photos de l’année précédente, la visite de Kyoto en 2017. Je ferai de mon mieux pour ne pas trop tarder.